En ce début 2015, le ministère a annoncé qu’il réduirait les suppressions de postes à hauteur de 7 500, ce qui porte la «facture» à 16 500 au lieu de 24 000 initialement prévus dans la loi de programmation militaire. Pour 2015, ce sera 1500 déflations de moins et la création de 250 postes budgétaires dans le renseignement, qui seront affectés à la DGSE (185) et à la DPSD (65). La direction du renseignement militaire (DRM) n’est curieusement pas concernée, alors que ses moyens techniques sont constamment utilisés dans la période actuelle, et qu’elle manque d’analystes.

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