La construction d’un deuxième porte‐avions pour la France aura décidément fait couler beaucoup d’encre. Au‐delà du débat sur la question stratégique qui a abouti à ce que l’Europe toute entière se retrouve depuis en difficulté, dès lors que le « Charles de Gaulle » est en indisponibilité pour entretien, c’est bien le gâchis financier et celui des pertes en ligne des compétences, qui laisse un arrière‐goût plus qu’amer… La presse s’en fait l’écho cette semaine encore.

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